Here I am ! On my knees again ♪♫ Romuald

Informations complémentaires

Romuald est un fée et bien qu'il ne possède aucune once de magie à son grand désespoir, il est tout de même muni d'une paire d'aile et de quelques caractéristiques féeriques. Depuis son arrivée à Auradon il a fait la découverte grandiose du gel coiffant, de l'après shampoing, des sucreries (même si avec une mère faites de bonbons et capables d'en créer il connaissait déjà un peu) et surtout, surtout du lait fraise. Si bien que depuis il ne bois presque plus que de ça et se gave de sucre quand il est déprimé ou contrarié exactement comme sa mère. Il possède depuis tout jeune un écureuil qui s’appelle Chip, en hommage à l'écureuil de combat de son père. Romuald chante divinement et a le rythme dans la peau. Il lui arrive fréquemment, quand il se croit tout seul de s'agiter dans tous les sens... et d'avoir l'air totalement stupide quand on l'a surpris... Il a des tendances maniaques, il ne supporte pas que l'on déplace les objets ailleurs que là où il sont rangés. Il agit souvent sans réfléchir lorsqu'il s'agit d'affronter le danger pour être plus héroïque car sinon il fuirait surement en courant. Bon, l'avantage c'est qu'il court vite. Il ne porte jamais, jamais, jamais, jamais de chapeau. Ca abîme son brushing et il assimile ça à une odieuse faute de goût ! Il aime les animaux, et a toujours eu un bon feeling avec ces derniers qui sont rarement effrayé par sa présence. Comme les femmes, les fées ont de la rancune et Romuald n’échappe pas à la règle. Au fil des années, forgé par la force et l'expérience, c'est devenu finalement un relativement bon bretteur même si il est loin du niveau de sa sœur.

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Histoire

Romuald est né dans la famille Lefay - oui, vraiment, d’où son nom de famille. Il est le premier d’une fratrie… D’une seule sœur, en fait. Ronce, sa sœur adorée qui, bien que plus jeune que lui, est sûrement la plus coriace des deux. Pour comprendre un peu mieux son histoire, il faut déjà connaitre connaître son père le grand Roland LeFay qui alors qu’il aurait dû épouser la douce et jolie Marianne, Princesse du Royaume des fées et devenir le roi Roland, s’est au final vu privé de ses rêves à cause d’un stupide lutin, d’un imp et surtout d’un maudit filtre d’amour. Mais c’est une très, très longue histoire. Et ne parlons pas de l’affreux cafard moisi et dégoutant qui a volé le cœur de la princesse par un sombre envoûtement. De tout cela, le pauvre Romuald en a retenu une leçon très importante, l’amour est une des choses les plus dangereuse et terrifiante au monde. Oui, oui. C’est à cause de l’amour que son père s’est retrouvé envoyé sur une île où il n’avait aucunement sa place. Pire c’est même l’amour qui a bien failli pousser son père à épouser une énorme mouche violette. Mouche qui aurait bien pu être sa mère si on n’avait pas eu la prévenance de désenvouter son père avant de l’envoyer sur l’île. En plus de ça, c'est sa mère la fée Dragée qui avait concocté ce filtre et de ce fait elle l'a bien mit en garde contre tout ça et les risques des potions de ce genre. Ce détail, découvert grâce à sa mère Dragée par le plus grand des hasards alors qu’il avait huit ans est aujourd’hui son plus grand traumatisme et son deuxième plus grand secret et il fait tout pour que sa sœur Ronce ne l’apprenne jamais. Dire que la perfection de ses gênes féeriques a bien failli être détruite par tout ça ! Il en frémit chaque fois qu’il y pense ou qu’il pense au grand amour en général. Ainsi, Roland et Dragée ont éduquer leurs deux enfants dans l’idée que leur place n’a jamais été sur l’ile, mais comme on vous l’a dit c’est une longue histoire…




Gauche. Droite. Gauche. Droite. Droite. Esquive. Repos. Les entrechocs des lames de bois vibrent et retentissent sourdement dans la pièce, comme un ballet agile mêlant capes et épées plutôt que tutus et chaussons. Des crissements de pas couinent sur le sol de pierre dont la surface rugueuse ne facilite pas les déplacements. L'air est lourd, étouffant, empreint de ce brasier d'adrénaline qui consume les chevaliers au combat. À dire vrai, de chevalier, il n'y en a qu'un. Roland LeFay, ancien meilleur bretteur à la cour du Royaume des fées, reconverti comme maître d'armes pour son fils Romuald. Roland qui observe tandis qu’il a confié son rejeton aux mains de Gaston et de son école de Duel sans règles. Droite. Gauche. Gauche. Feinte. Riposte. Touché. « Tiens-toi droit. Les jambes dans l'axe de tes épaules, le buste haut et la main légère. » Le blondinet s'exécute, quoi que peu satisfait d'avoir à lui obéir au doigt et à l'œil comme un pantin. « Plus haut, l'avant-bras.» Il soupire, mais effectue. « Ne sois pas si crispé. On dirait que tu as peur de tenir ta lame. » Comme s'il avait envie de tenir une lame et de jouer les chevaliers. Comme si Romuald pouvait avoir envie de se battre ! Pourtant il ne peut tenir tête face aux exigences de son paternelle qui rêve qu’un jour son fils s’illustre assez pour qu’on répare cette méprise qui les a conduit ici. « Je n'ai pas peur. Et ce n'est pas une lame, mais un vulgaire morceau de bois. » Ses doigts se resserrent sur la fusée de l'épée. Pour un si vulgaire morceau de bois brut, elle est plutôt dense, lourde, plombée sans doute. La frustration commence à s'insinuer dans le creux de ses veines, à lui battre aux tempes. « Prête attention à ta garde. Il suffit d'un moment d'inattention et-» Pour illustrer ses propos, Gaston tend son arme de chêne et frappe d'estoc, la pointe dans le creux du torse du gringalet, mais avec une certaine grâce et légèreté. Un ballet de capes et d'épées. Un autre soupir, un râle d'insatisfaction tout droit sorti des entrailles du petit demi-fée. Relevant le menton, avec cet air suffisant qui lui collait à la peau et qu’il avait appris de son paternel, il plongea ses prunelles dans celles de son professeur. « Je sais me défendre. » Et pourtant Gaston rit. Il rit comme jamais, comme si on venait de lui raconter une bonne vanne graveleuse ou lui dire que les gobelins de la sombre forêt, ça sentait la papaye tropicale. La fougue qui prenait le bretteur commençait à insupporter le gamin, ce précieux chérubin à sa maman, habitué à tout sauf à être remis à sa place. « Et bien alors, montre donc. » Joignant les actes aux paroles, sans même entrer au garde-à-vous ni saluer l'adversaire d'une quelconque manière, Gaston prend le fer. Le gamin est un peu lent à la réaction, pare de justesse puis se dérobe. Gauche. Gauche. Droite. Remise. Riposte. Parade. Contre-riposte. Gauche. Touché. Le garçon se retrouve à terre, désarmé, des gouttes de sueurs perlant à son front, l'air victorieux de son entraineur face à lui. Sur l'instant, il ne sait trop quoi penser. Il se sent faible d'avoir échoué, avec ses gestes maladroits, son manque flagrant de coordination. Il se sent coléreux face à la suffisance de l'autre face à lui. Il se sent frustré aussi, au fond, en ne l'admettant qu'à demi. Il aurait largement préféré qu'on le laisse mener et gagner plutôt que d'essuyer pareille humiliation, même privée. Le retour chez eux se fait au final en silence et Romuald part se réfugier dans son coin jusqu’à ce que sa petite sœur le rejoigne. Ses petits pieds se posent à terre et elle s'accroupit de façon à être au même niveau que lui. Mais le frère se sent mal. Il se dit qu'il a lamentablement failli à son honneur et que pire encore, son père a vu toute la scène. Les doigts fins de Ronce se posent sur son épaule avec douceur. « Il ne faut pas t'en faire, ce n'était que ta toute première heure. Tu deviendras aussi fort et doué que papa l'était, j’en suis sûre » À l'ordinaire, être comparé à son père ravissait le marmot, il se sentait alors grisé, plus proche que jamais de ce paternel de légende. Mais en ce jour, en cette heure, son égo était encore trop bafoué, son esprit trop obtus et borné pour vouloir se rétracter et s'apaiser. « Comment diable suis-je censé délivrer une princesse en détresse du haut de sa haute tour ou gouverner un royaume et commander une armée si je ne suis pas même capable d'affronter une truffe pareille ? » Des projets de vie future ambitieux ? À peine, voyons. Et en réalité ce ne sont pas les siens, ce sont ceux que son père rêve de le voir accomplir. Un jour Roland aura son armée. Il ose enfin croiser le regard de sa sœur. Sa sœur, cette petite chose frêle en apparence mais qui a la fureur d’un lion et la force d’un ours. Depuis leur plus jeune âge, ils affrontent tout, ensemble. Frère et sœur, unis envers et contre tous ; à deux, soudés comme jamais, liés par un fil inébranlable, inaltérable, renforcé par les secrets qu’ils protègent et partagent et cette fierté propre aux fées qui coulent dans leurs veines. Romuald il n’a pas envie de finir chevalier, prince ou héros d’une nouvelle histoire. Il n’a pas envie de s’illustrer plus bravement que ça dans l’espoir qu’on comprenne que leur place n’est pas ici, qu’il y a eu une erreur. En vérité Romuald est un des rare garçon dans une grande famille de fées des plus reconnues. Une famille de fée qui veille sur une des plus célèbres princesses, Cendrillon elle-même ! Non depuis qu’il connait l’histoire de sa famille, Romuald ne rêve que d’une chose au fond de son cœur, pas d’être chevalier, pas d’être un héros, non il rêve simplement d’être assez doué pour être fée marraine un jour. Mais son père ne veut rien entendre, tout comme il ne veut rien entendre des rêves d’aventures de sa sœur. Pourtant des deux c’est elle qui cogne le plus fort, c’est elle qui rêve de partir à l’aventure et de vivre de folles histoires. Il se rappelle encore quand un des garçons de l’île s’est amusé à essayer de lui piquer ses affaires, mais surtout il se rappel des trois semaines que l’imbécile a mis avant de pouvoir remarcher. Voilà les secrets qu’ils partagent, voilà pourquoi en cachette Romuald laisse Ronce profiter de ses leçons et s’entraine avec elle. Ils sont unis quoi qu’il arrive et ils espèrent qu’un jour la roue tournera. Pour leur propre justice, pour leur propre réussite, pour leur propre bonheur. On leur a enlevé leur fin heureuse, on l'a fait disparaître alors qu'ils l'effleuraient du bout des doigts. C'était un coup de karma véritablement mesquin. C'était comme montrer son cadeau de Noël à un enfant, le faire trépigner d'impatience et d'envie puis tout bonnement le jeter la fenêtre. Mais ils répareraient ces dégâts, ils l'auront un jour leur fin heureuse.




Il a bien grandit le jeune Romuald, aujourd’hui fringant du haut de ses tous récents 22 ans et de son mètre quatre-vingt. Il a bien grandit ce gamin qui rêve en secret d’être la marraine bonne fée qui viendra se pencher sur l’épaule de quelqu’un dans le besoin. Hélas, nuls vœux à exaucer ou princesses à protéger pour le mâle fée. Oui, il en a vu des désillusions. Il n’a jamais quitté l’île malgré tous ses efforts pour se montrer héroïque. A vrai dire il y a gagné plus de bataille et de raclée qu’il veut bien l’avouer, même à Ronce. Alors peu à peu, il a commencé à renoncer à son rêve. Il ne sera jamais marraine un jour, il ne sera jamais roi, jamais prince, jamais chef d’une armée ! Il continuera d’être simple chevalier se bagarrant sur l’île et se glissant parfois dans quelques rôles de théâtre digne de sa beauté et de sa prestance. Digne de ses boucles blonde et de son brushing parfait. Et il en faut des efforts pour garder si fière allure sur cette île. Il a bien grandit et il a même fini par trouvé la parfaite demoiselle en détresse à secourir ! Oui, oui au beau milieu de l’ile vous ne rêvez pas. Lui qui commençait à ne plus croire en rien, il a enfin touché au but ! Et pourtant ça non plus ça ne leur a jamais fait quitté l’île. Ni lui, ni Ronce, ni Chip, ni Govrie. On leur refusait toujours la moindre chance de réparer cette grossière erreur qui avait touché sa famille. On ignorait ses efforts et sa grandeur d’âme. Alors que quelques temps à peine plus tard on autorisait quatre enfants à rejoindre Auradon et pas lui ?! AGONIE !!! TRAITRISE !!! INFAMIE !!! JE TREPA… Hem… Un peu plus et il en perdait son brushing. Une nouvelle injustice venait de le frapper mais comme toutes les autres fois Romuald finit par s’en relever, acceptant peu à peu l’effroyable vérité qu’il serait juste chevalier et non fée marraine. Acceptant l’idée de rester coincer sur l’île. Au moins il avait Ronce. Au moins il avait trouvé une demoiselle en détresse. La vie n’était pas si triste. Et il avait raison de rester optimiste ! Car un jour, un jour enfin on sembla reconnaitre ses efforts. Bientôt le jour tant espéré arriva pour lui. On autorisait enfin les enfants de l'île à partir pour Auradon. Tous ! Il ne quitterait pas Ronce il ne quitterait pas ses amis. Peut-être même allait-il pouvoir recommencer à croire en son rêve comme disait la chanson. Après tout à Auradon on pouvait faire de la magie ? Peut-être pourrait-il abandonner la chevalerie et devenir marraine ? Peut-être bien que tout n'était pas perdu pour lui.

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Vous

Voilà je vous ramène enfin Roro Jr !!! Accrochez vous à vos chaises.

Yeah enfin !

Roro Jr. !!!
(J'ai déjà assez cette chanson dans la tête...)

HERE I AM ! ON MY KNEES AGAIN ! I'LL DO ANYTHING JUST YOU MAKE YOU RIGHT ! SAY YOU UNDERSTAND ! OH I KNOW YOU CAN ! COME ON MARIANE !
On a jamais assez cette chanson en tête voyons 8D

Merci à vous

Validé

Welcome to Auradon

Félicitation, tu as passé le test de la fiche de présentation et tu es donc officiellement intégré au campus d'Auradon !
Je rappelle que tu peux aller poster ta fiche de relation et chercher des RP par la même occasion, ou bien te lancer dans la cours des grands directement.
Et n'oublies pas de voir pour ton dortoir si tu veux.
Bienvenu sur Ways to be Wicked. And don't forget to Chill' like a Villain~