belle et rebelle (Héliza)

(a corriger)
Deux êtres n’ayant pourtant pas grand choses en commun, deux êtres ne se connaissant pas plus que ça. Un homme, un prince bannit de ces terres. Un prince, mais aussin un menteur et manipulateur. Hans Westergaard. Sa famille avait des terre dans le sud, il a essayé de conquérir arendelle pour devenir le roi de ses terre. Mais, rien ne s’était passer comme prévue, il était un monstre, le méchant prince celui qui répandait les rumeurs, il avait essayé d’effacer Elsa, la rein elsa, de l’assassinée pour prendre les rènes. Mais il n’y est parvenu. Il n’avait juste aucune chance de devenir roi, et voulait à tout pris l’être hélas, sa première tentative a été désastreuse. Et c’est dans les terres du nord (écossaises) qu’il finit par se rendre. Il savait, que la princesse là-bas, était une femme assez spéciale, une femme ne se considérant pas comme princesse mais qui pourtant se devait de regner une fois le moment voulu.  Une rencontre qui s’est faite par hasard, Mérida, la princesse venait de sauver Hans d’une attaque, une attaque d’ours. Elle s’y connaissait en ours la jeune fille. L”homme étant bléssé s’était au royaume que Mérida venait de l’amener pour qu’il soient soigner. C’est ainsi que commence la “romance” ou devrions plutôt dire, la manipulation. Hans, comprenant que s’était une princesse, l’héritière se l’est jouer bon, gentil et courageux. Il était quelqu’un de beaucoup trop gentil, quelqu’un voulant être pmrince. Et sans plus attendre que le roi et la reine font de leurs fille la promise de cette homme si parfait, cet homme. L’un des rares qui plût à la princesse Mérida.

Quelques mois, presques une année plustard, le prince et la princesse passait aux fiançaille, mais aussi à la cérémonies faisant d’eux les héritiers.  Les futur rois et reines. Le prince Hans et Mérida avait profité de cet évènement pour faire part de leurs grand nouvelle ; ils allaient avoir un enfant, une fille. Le peuple était heureux de cette annonce, heureux d’accueillir un nouveaux membre dans la royauté.
Au bout de neuf mois, la reine en titre ses parents étant décédé de vieillesse, mets au monde son enfant au côté de son mari, le défunts roi. L’enfants était sans aucun toute la choses la plus belle de leurs vie. Même Hans, cette homme qui ne donnait son amour, cette homme manipulateur, avait lâché un larmes voyant sa fille, le seul être qu’il a aimé.

La vérité avait éclaté, et Mérida a su les attentions qu’avait Hans à l’époque, et les masques son tombé. Hans est redevenu cette personne méchante, horrible qu’il était, il était un roi sévère, un roi qui se fichait de son peuple, alors que Mérida en était tout le contraire. Elle qui ne voulait être reine, elle qui jamais n’avait donnée son amour s’était faites avoir et pourtant maintenant il est trop tard. Elle se devait de garder la tête haute et de faire comme-ci il ne se passait rien avec son mari. Alors que son amour  pour Hans n’existait plus. Elle avait mal, il l’avqit blessé en lui mentant, la minipulant.


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Héliza a grandit. Héliza vit avec sa mère à Auradon. Elle n’a pas vraiment eu le choix. Sa mère ne l’aurait jamais laisser aller vivre avec son père sur l’île de l’oublie. Mérida n’a jamais voulu que sa fille passe du temps avec Hans, ayant peur que celui-ci ait un très mauvaise influence sur la jeune fille. Hélas, le truc. C’est qu’être mauvais c’est de famille. C’est dans le sang. La jeune fille, la petite princesse c’éfforce a être un enfant model et angélique, doux sourire, douces paroles. Elle joue double face. Elle participe a de nombreuses activité sur l’îles d’Auradon, et pratique l’arc avec sa mère lorsque l’envie lui vient. En grandissant Héliza avait fait la demande dans le dos de sa mère pour avoir le droit de rendre visite à son père sur l’île de l’oublies au moin deux fois par semaine. Sa mère durant toutes ses années à Auradons lui avait toujours dit qu’elle n’en avait pas le droit, alors que cela est totalement faux. Elle venait d’en avoir la preuve. Le roi et la reine avait accepté que la jeune fille puisse voir son père, néanmoins cela serait que les week-end après les cours. Elle se rendait sur l’île, une drôle d’îles où elle s’y sentait à sa place. Elle aimait être ici, même si rien n’était luxueux comme sur auradon, mais c’était ça qu’elle aimait. Puis aussi le fait de pouvoir être celle qu’elle a toujours été dans le fond. La fille de son père.  (en cours)